taz | 12.12.2024
Das österreichische Parlament hat Herbert Kickls Immunität aufgehoben. Damit werden strafrechtliche Ermittlungen gegen den FPÖ-Chef möglich – wegen Falschaussage. Herbert Kickl, Chef der FPÖ, soll im Untersuchungsausschuss falsche Angaben über seine frühere Beteiligung an der Kärntner Werbeagentur „Ideenschmiede“ gemacht haben. Die Agentur erhielt in der Vergangenheit Aufträge von der Kärntner Landesregierung und war in Skandale verwickelt. Während Kickl Innenminister war, soll die Agentur erneut aktiv gewesen sein. Im Ausschuss bestritt Kickl jede Verbindung, doch laut der ÖVP gibt es Beweise, dass er stiller Teilhaber war.
Explications : Un énième scandale politique en Autriche. Cette fois-ci, Herbert Kickl, le sulfureux homme politique d’extrême droite du FPÖ, aurait menti à la commission parlementaire concernant une affaire de clientélisme. Son immunité parlementaire a été levée et il pourrait donc se retrouver en procès puis en prison.
Utilisation : C’est donc un énième exemple qui montre que les hommes politiques ne sont pas dignes de confiance. Cela s’ajoute donc au phénomène de Politikverdrossenheit. Par ailleurs, cela montre aussi la volonté de plus affirmée d’interdire, par la loi, des hommes et partis politiques d’extrême droite. Cette info peut donc servir d’une partie entière concernant un sujet politique et plus particulièrement un sujet qui concernerait l’extrême droite.
